Textes variés

S'envoler sur un nuage de bonheur, se laisser porter par les ailes d'un coeur pour atteindre dans un ciel la douceur d'un monde bon, d'un monde meilleur. Se laisser emporter par les vagues de la mer, se laisser dériver pour oublier les "hiers" d'un monde d'enfer, de ce monde froid comme un triste hiver. Retrouver les chemins de l'indifférence, revenir dans un monde de l'innocence, et l'oubli dans l'ignorance, revivre les belles années de l'enfance. Pouquoi ainsi rêver, et vouloir revenir dans un monde dont je ne sais me souvenir? Pourquoi penser vivre avec moins de désirs pour oublier la vie des plaisirs quand autour de nous l'amour et l'amitié sont tous les jours présents et chantés, et d'oublier un instant du monde ses calamités et profiter des bonheurs de la vie, de penser que je peux encore faire des folies, que je peux encore admirer les femmes jolies, et de nier en ce monde fou la misanthropie".

Toi aussi belle, à chaque jour tu me guides toujours. Malgré ces grandes fleurs blanches et très jolies elles me font de l'ombre, je cherche le parcours, je vais y arriver un jour. Je continue mon chemin, même petite j'y arriverai un jour. Il faut apprécier les sentiers qui nous sont dédiés, les traverses de la vie inattendues qui nous sont données pour reconnaître que même petite dans notre être intérieur, ou notre coeur, nous pouvons aller loin, sur un chemin inconnu, ne jamais lacher. C'est le secrèt du bonheur pour voir le soleil dans nos coeurs.

en réponse, je te lis car c' est trés romantique et un tantinet reveur !



moi je préfère un peu plus hard et direct !!!

je plaisante bien sur!! hi hi hi ..........

Merci de me répondre mon bon shrek, je tourne un peu en rond, c'est pas toujours évident de trouver des textes "variés" j'en chercherai quelques plus hards pour te contenter. Bizzzz

Perdue dans la forêt, emplie de désespoir je tombais à genoux pour attendre la mort, résignée à subir l'inéluctable sort, m'apprêtai à franchir l'invisible miroir. Soudain un teintement de notes cristallines m'appela, m'attira en une vaste clairière où coulait doucement une jolie rivière scintillant au soleil de lumières divines. J'effleurai de la main la surface argentée et vis alors émue de minuscules fées sébrouant avec joie dans cette eau étoilée, je m'abreuvai alors en gorgées apaisés. La musique d'un trot détourna mon regard. Mes yeux se déposèrent sur un être magnifique, animal magestueux aux airs mélancoliques dénué d'artifices, allégé de tout fard. S'approcha de la rive la blanche créature ses longs cheveux de crins s'agitant dans le ciel, je tendis une main et flatta l'encolure qui frissonna sous les caresses de mes ailes, sa corne spiralée aux pouvoirs bénéfiques luit au feu du ciel aux éclats feériques. Un long hénnissement fit pliser ses nasaux, me souhaitant bienvenue en sublime cadeau. La licorne mythique fit claquer ses sabots, ses jambes tournayant en ultime salut. Elle s'en fut alors en fabuleux galot, une poussière d'or s'envola dans les nues.

ZAZOU.

Si vous pouviez m'aider, me communuquer quelques sites où je pourrai puisser des textes ou petites fables, je vous en serai reconnaissante car pour le moment je me rends compte que "dans mes copies" je tourne autour des mêmes sujets et cela me "Titille". Merci de me répondre.

excalibur a écrit:Parfois j'ai envie que le monde sache que j'aime la vie, ..... Vous qui avez la santé sachez jouir de ces jolies choses de la nature qui ne demandent qu'à être senties, admirées et regardées. Bonne journée, c'est cela le bonheur.

C'est tellement vrai. Merci Excalibur. J'aime à te lire même si je ne te le dis pas souvent. Continue

Merci ma belle de tes encouragements, cela me fais plaisir. Je continue...

Dans la boue nuageuse de la nuit la lune rousse dans son halo de feu, sème à tous vents les songes et les présages. La mer lui est soumise et le coeur des hommes s'y grise, la nuit elle écarte délicatement les rideaux de coton, et elle prend la lumière du soleil, echo d'une vie chorégraphique miroir destins endormis puis elle descend lentement la courbe du ciel jusqu'au jour où elle se cache. La nuit transpire entre l'angoise et le sommeil, portée par le hasard et le jeu. Le soleil décline, la nuit commence à la suivre, couvrant l'horizon par le silence. Je me suis arrêté quelques instants pour voir la lune splendide élarguer ce nuage. La nuit vient de se poser sur mes épaules. La lutte virtuelle défile dans mes pensées, plus léger qu'une plume, seul sous Saturne, pensées pleines d'amertume, la nuit où les rêves les plus fous sont permis, et le moyen de fuir la dure vie. Hier soir ou plutôt de l'autre côté de la nuit, dans le noir, tout là haut une étoile est apparue et brille dans la douceur de la nuit, je me sens pousser des ailes pour m'envoler vers le paradis, je m'endors et monte vers ce pays; le pays des rêves qui est ma destination nocturne. La nuit je regade le ciel et je pense à toi. Les étoiles nous surveillent du firmament, et posent sur nous leur lumière étincelante. La nuit est vraiment belle ce soir, la lune sourit et n'est voilée que par quelques nuages fous. la nuit meurt toujours : la nuit meurt chaque jours douce sur nos peurs.
Ce soir la nuit est trop blanche, la pluie tombe enfin! comme une délivrance, demain le petit jour se lèvera dans la première fraîcheur de l'été.

Sur ce petit sentier de terre cahoteux, ensembles nous marchons comme deux vieux, nous marchons main dans la main membres tremblants en nous remémorisant nos vieux souvenirs du temps passé. C'est si bon de se rapppeler nos premiers instants. Il sont si loin, si loin déjà nos premiers instants. Combien de je t'aime qu'on s'est murmurés tout bas. Combien de fois tu m'as serré si fort dans tes bras. En fermant les yeux, c'est si bon de penser malgré mes rides, amoureux tu es resté à travers le temps, malgré nos jours de brouillard je vois toujours dans tes yeux ce premier regard. Combien de secrèts nous avons partagés, combien de nuits nous nous sommes aimés, combien de rêves sont devenus réalité, combien de jours?.. Combien de routes ensembles nos avons traversées?
En fermant les yeux, c'est si bon de se voir encore amoureux. Combien nous reste-il de jours heureux? Au delà du temps, au-delà des ans qu'importe tes cheveux blancs, qu'importe tes membres tramblants! serres moi contre ton vieux corps en me murmurant encore tendrement tes mots d'amour d'antan.

N'est ce pas ce que tout coeur encore amoureux désir, finir ainsi de battre?

Tel un bateau rouillé à la longue agonie, la bascule du temps égrène les secondes rappelle à la viellarde la déstinée honnie fatalité cruelle pour les vivants du monde. La vieillarde est bien seule au soir de l'existance, sur personne ne peut faire remontrances et déverser son fiel de mégère acariâtre, elle qui fût mongtemp impossible marâtre. Ses jours les occupait à cracher ses épines, dans sa bouche édentée colère elle rumine contre ses beaux-enfants qu'elle appelait vermine qui ne viennent plus voir cette vieille radine. Accomgnée au trou par un simple curé, avare qu'elle était des joies et de bienfaits, seule elle à expiré son jardin envahi non de fleurs délicates mais de touffes d'orties. S'arrête sans détoure le chemin de la vie, il apartient qu'à nous d'y semer un jardin constellé de pétales de roses et de jasmin ou le laisser en proie aux ronces et orties.

ZAZOU.

Nous, c'était du bleu, un ciel d'été, un océan transparent, nous, nous étions deux et l'on s'aimait à faire arrêter le temps. Mais le temps nous a trahit. Alors pourquoi m'avoir promis la terre entière?
Notre amour aurait suffit, je ne voulais pas de bonheur imaginaire, si la vie est un cadeau, cadeau donné cadeau repris. Le bonheur est trop court, nous c'était l'enfant que je voulais t'offrir au printemps, mais le temps a tous les droits. Alors pourquoi m'avoir promis la terre entière? Et l'enfant n'est pas là! C'est aujourd'huit mon seul rêve imaginaire? Si la vie est un cadeau........

Qui peut rectifier le tire avec un grosse faute. Merci à celui qui aura pitié.
J'ai réussi à recopier un texte plus long, j'ai eu beaucoup de difficultés ces derniers jours, les textes disparaîssaient, bien entendu en fin de copie. Que faut-il faire? Existe-il un moyen de bloquer l'espasse prévu pour les réponses, car c'est frustrant et disons le énervant! Si vous le savez de grâce faites le moi savoir?

Je vivais sans coeur, tu vivais sans flamme, incomplets, mais faits pour un sorts plus beau. Tu pris de mes sens, je pris de ton âme, et tous deux ainsi nous nous partageâmes mais c'est toi qui me fis le meilleur cadeau. Oui ! c'est toi, merci...C'est toi sainte femme, qui m'a fait sentir le profond amour, je mis de ma nuit dans ta blancheur d'âme, mais toi, dans la miene, as mis le grand jour. Je tombais, tombais... cet ange fidèle qui suit les coeurs purs ne me suivait pas, pour me soutenir me manquait son aile. Mais Dieu m'entr'ouvrit ton coeur et tes bras. Et j'aime tes bras, tes bras mieux qu'une aile. Car une aile, hélas! sert a nous quitter, l'ange ailé s'en va, lorsque Dieu l'appelle. Tandis que tes bras servent à rester.

Jules BARBEY D'AUREVELLY.

excalibur a écrit:[justify

C'est une époque où les maisons sont plus belles, mais où il y a d'avantage de foyers brisés. C'est pouquoi je propose qu'à partir d'aujourd'hui on ne garde rien pour une occasion spéciale parce que chaque jour qu'on vit est une occasion spéciale.

A suivre les conclusions.........

Je suis à 100 % d'accord avec toi, Excalibur. Chaque jour est un jour important surtout quand on a la santé même si des fois c'est pas facile faut qu'on arrête de se regarder le nombril et qu'on vive chaque jour comme une fête. C'est ce que j'essaie de faire au maximum.

Encore merci à toi de nous permettre de réfléchir. Biz

Merci ma belle. Réfléchir, il le faut! Il ne faut pas attendre le 3ème âge, mais il n'est jamais trop tard! Le temps passe tellement vite. Gardons les yeux bien ouverts. Bisous à toi.