Petite blague littéraire.

Petite blague litéraire.


Lors d'un dîner entre passionnés de littérature l'un d'eux se dit inconditionnel de Balzac, une femme très belle qui accompagnait son mari dit "moi je n'ai lu que la comédie humaine"

Grand silence dans l'assemblée!

Faut-il mieux être très belle ou très bête

Bravo,excalibur,pour ce post,et surtout ce nouveau sujet;

Ca y est Excalibur, tu t'es lancée, c'est bien, maintenant il faut continuer

ouais car si elle poste autant qu' elle parle le forum va vivre de facon tres interessante. tant mieux vive excalibur

talleyrand, qui était méchant comme la gale, disait de chateaubriand;

" il croit qu' il devient sourd car il n' entend plus parler de lui"

le travail,c'est la santé........mais à quoi sert donc la médecine du travail?

(pierre dac)

philosophie:

attention!!!!!!
l' amour rend aveugle..... mais le mariage rend la vue

à méditer

Une maman et son jeune enfant !!!

- Maman, maman, je peux avoir du chocolat ?
- Mais oui, mon petit, sers-toi, il est dans le buffet...
- Mais maman, tu sais bien que je n'ai pas de bras ....
- Ah, pas de bras, pas de chocolat !

louis jouvet dit un jour pendant son cours de théatre, à un jeune comédien bègue:
voyez vous jeune homme, avec mes problèmes de prostate, je pisse comme vous parlez........

l' esprit c' est comme un parachute

quand on n' en a pas, on s' écrase

( pierre dac )

C'est un type qui arrive dans une ferme de Bigorre et qui demande l'hospitalité.
Le fermier lui demande ce qu'il fait dans la vie:
-Moi? je suis poête, poête provençal, troubadour quoi!
Le fermier accepte de l'hébergé dans la grange, puis il va voir sa fille et lui dit:
- Oh! y a un type bizarre dans la grange, y dit qu'il est poête!
- Je vais voir dit la fille.
Elle se pointe dans la grange.
- Alors comme ça vous ête poête?
-Ben ouai! je fais des vers, de rimes, c'est quoi ton nom?
-Moi c'est Gervaise.
-He ben Gervaise viens que je te bai....
IL l'a prend la couche sur le foin et lui fait son affaire. Bim, Ban, Bom.
la fille revient voir son père.
- Il est super ce gars, il dit de super poêmes.
La mère dit à son tour:
- Bon ben moi je vais voir:
- Alors,vous faîtes de la poêsie? demande-t'elle?
-ouai, je suis un troubadour. C'est quoi votre nom? C'est Pauline.
- Ah! Pauline, vient que je te pi......
Il se rue sur elle et rebelotte Bim,Bam, Bom dans le foin..
La mère retourne à la ferme.
- Extra! il m'a fait un grand poême!!! baudiou c'était beau!!!
Le mari dit alors:
- Vindiou,y faut que j'y aille voir ca moi aussi.
La mère et la fille se jettent alors sur lui en criant:
- Hercule! non n'y va pas!!!!!!!!!!

Les hommes qui prétendent que leurs femmes sont frigides sont en général de mauvaises langues! (Sacha Guitry

Antant en apporte le vin

Il m'est arrivé une histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur.

C'était il y a quelque temps, au bal de la Nuits St Georges que j'ai rencontré la petite Juliénas, une fille drôlement Gigondas, un sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois. On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus tard lorsque je lui ai proposé de l'emmener dans mon Châteauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Croze-Hermitage. Le temps d'aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma banyuls et on a roulé jusqu'au matin.

Ah quelle belle journée ! on s'est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l'eau Clairette, on s'est Pouilly-Fuissé dans les dunes et puis comme le Mercurey montait sérieusement et qu'on commençait à avoir les Côtes-Roties on a décidé de rentrer. Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvés coincés dans les embouteillages... enfin les bouchons, quoi ! Je commençais à Minervois sérieusement et là, Julienas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon. D'un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie. Je me suis retrouvé comme Macon. Quoi, me suis-je dit, elle s'est déjà Sauvignon avant même que j'aie le temps de la Sauternes ! Mais je vous Jurançon, je l'avais dans la Pouillac, en effet, j'en étais tellement Tokay que j'ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.

Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit « ne fais pas ta Pomerol, et ne t'en va plus Gamay ». En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran : « ne m'en veux pas, je voulais juste être sure que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre ».

Depuis on ne s'est plus cuités.

Ce n'est pas une blague. Je ne voulais pas ouvrir un autre sujet.

En reprenant un vieux recueil de poême j'ai trouvé un morceau d'un journal local que j'avais glissé dedans.
Il s'agit d'un poême d'un certain chistian Trehel, maire de Essises.
j'ai cherché sur le web, il était encore maire en I993 et a reçu une distinction.
Le connaissez-vous, si oui, faites le moi savoir, si vous voulez lire son poême je vous le transmettrai.