Krichon je sais que tu aimes les belles phrases, et c'est bien de me donner ton avis, j'aimerai bien connaitre d'autres commantaires favorables ou non.
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excalibur
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Textes variés
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°26
Re: Textes variés
J'ai touvé ce texte tout à fait pour moi, j'ai voulu vous le faire patagé.
Krichon je sais que tu aimes les belles phrases, et c'est bien de me donner ton avis, j'aimerai bien connaitre d'autres commantaires favorables ou non.
Krichon je sais que tu aimes les belles phrases, et c'est bien de me donner ton avis, j'aimerai bien connaitre d'autres commantaires favorables ou non.
kissyfrotte- Terrien
- Nombre de messages : 63
Age : 29
Localisation : Nels le montagne
Date d'inscription : 16/03/2009
- Message n°27
Re: Textes variés
salut tout le monde
je voudais juste avoir votre avis sur ces quelques mots: vivre tue
s'il faut mourir .
ou bien vivre a en crever?
s'il faut crier.
ou bien chanter a en pleurer ?
s'il faut haïr.
ou bien aimer a en crever?
vous en pensez quoi ?
je voudais juste avoir votre avis sur ces quelques mots: vivre tue
s'il faut mourir .
ou bien vivre a en crever?
s'il faut crier.
ou bien chanter a en pleurer ?
s'il faut haïr.
ou bien aimer a en crever?
vous en pensez quoi ?
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°28
Re: Textes variés
Bonjour Kissifrotte, c'est ce que nous pouvons classer dans les "caprices du français". Quelques exemples:
- Pourquoi? quand un homme se meurt, on dit qu'il "s'éteint," quand il est mort on l'appelle "feu Mr...."
- On "remercie" un employé quand on est "pas content" de ses services.
- On dit pauvre malheureux à un homme qui n'a plus "où coucher" qu'il est "dans de beaux draps"
- Comment peut-on dormir sur ses deux oreilles?
- Pourquoi? "lave-t-on" une injure et "essuie-t-on" un affront.
- On passe souvent des nuits "blanches" quand on a des "idées noires."
- Pourquoi? quand on veut de l'argent "devant soi," faut-il "le mettre de côté."
- Ce sont les meilleurs "crus" qui font les plus fortes "cuites."
- Pourquoi-dit-on? "embarras de voitures quand il y en a de trop" et "embarras d'argent quand il n'y en a pas assez"
Dis-moi, Kissifrotte, ai-je répondu à ta question? Peut être èxiste t-il une autre explication? A vos claviers.
- Pourquoi? quand un homme se meurt, on dit qu'il "s'éteint," quand il est mort on l'appelle "feu Mr...."
- On "remercie" un employé quand on est "pas content" de ses services.
- On dit pauvre malheureux à un homme qui n'a plus "où coucher" qu'il est "dans de beaux draps"
- Comment peut-on dormir sur ses deux oreilles?
- Pourquoi? "lave-t-on" une injure et "essuie-t-on" un affront.
- On passe souvent des nuits "blanches" quand on a des "idées noires."
- Pourquoi? quand on veut de l'argent "devant soi," faut-il "le mettre de côté."
- Ce sont les meilleurs "crus" qui font les plus fortes "cuites."
- Pourquoi-dit-on? "embarras de voitures quand il y en a de trop" et "embarras d'argent quand il n'y en a pas assez"
Dis-moi, Kissifrotte, ai-je répondu à ta question? Peut être èxiste t-il une autre explication? A vos claviers.
kissyfrotte- Terrien
- Nombre de messages : 63
Age : 29
Localisation : Nels le montagne
Date d'inscription : 16/03/2009
- Message n°29
Re: Textes variés
hmmm tu me pose une plonb la mé je pensse avoir compris ta petite énigme ^^ je croi qu'il y a une rapport avec le guillemets que tu a mis impeu partou pour "souligné" certain morceau de phrase ... a la fin se donne sa :
caprices du français s'éteint .
feu Mr remercie ,pas content où coucher dans de beaux draps .
lave-t-on essuie-t-on blanches idées noires devant soi crus ,cuite.
embarras de voitures quand il y en a de trop,
embarras d'argent quand il n'y en a pas assez.
si c'est sa je ne vois pas en quoi tu repond a mas question désolé que je soi si niai
caprices du français s'éteint .
feu Mr remercie ,pas content où coucher dans de beaux draps .
lave-t-on essuie-t-on blanches idées noires devant soi crus ,cuite.
embarras de voitures quand il y en a de trop,
embarras d'argent quand il n'y en a pas assez.
si c'est sa je ne vois pas en quoi tu repond a mas question désolé que je soi si niai
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°30
Re: Textes variés
Là! mon petit je ne vois pas quoi faire pour toi! mais je ne suis pas ta "mé" je suis mémé pour mes trois petits enfants seulement pour eux. Sans rancune.
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°31
Re: Textes variés
Amours africaines (osons plus de légéreté?)
Une femme avoua à son doux compagnon son fantasme coquin, son rêve polisson, lui donner de l'amour en présence d'un noir qui les ventilerait d'une brise du soir. Sitôt dit, ditôt fait, dans la rue accostèrent un bel homme d'ébène qui ferait bien l'affaire, celui-ci accepta d'apporter son secours à ces deux tourtereaux brûlants comme des fours. Dans la chambre du couple ils prisent position, mais le bel africain avec moultes passions eût beau les ventiler d'une feuille de palmier, pas de plaisir en vue, cela faisait pitié. La femme proposa au mari d'échanger sa place avec le noir pour la feuille agiter. Très vite sa jouissance atteignit des sommets dans les bras de l'ébène à la bouche nacrée. L'époux pesta contre l'inexpérience, fit éclater son ire à tant d'incompétence. "As-tu vu abruti, comment agiter la feuille de palmier pour qu'ça fass' de l'effet?"
ZAZOU.
Une femme avoua à son doux compagnon son fantasme coquin, son rêve polisson, lui donner de l'amour en présence d'un noir qui les ventilerait d'une brise du soir. Sitôt dit, ditôt fait, dans la rue accostèrent un bel homme d'ébène qui ferait bien l'affaire, celui-ci accepta d'apporter son secours à ces deux tourtereaux brûlants comme des fours. Dans la chambre du couple ils prisent position, mais le bel africain avec moultes passions eût beau les ventiler d'une feuille de palmier, pas de plaisir en vue, cela faisait pitié. La femme proposa au mari d'échanger sa place avec le noir pour la feuille agiter. Très vite sa jouissance atteignit des sommets dans les bras de l'ébène à la bouche nacrée. L'époux pesta contre l'inexpérience, fit éclater son ire à tant d'incompétence. "As-tu vu abruti, comment agiter la feuille de palmier pour qu'ça fass' de l'effet?"
ZAZOU.
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°32
Re: Textes variés
Le vieil homme et le chien.
Transparant au regard des passants pressés le viel homme est assied, transit et affammé sous le porche à l'abri des frimas de janvier. Il implore un sourire, une pièce de monnaie. Passe un chien de prestige, une voiture suit, heurte le caniche. Sitôt extirpés de leurs logis douillets, accourent des bourgeois empressés. < ne le laisse pas là! amène le chez moi j'ai une couverture afin qu'il n'ait pas froid!> Qelques instants après, l'animal est pansé, dorloté, réchauffé maintes fois caressé. Au dehors dans la rue le silense est tombé tout le monde est rentré, à fermé ses volets. Sous son porche à l'abris des frimas de janvier le vieil homme c'est mis à aboyer...........
DANIEL BAY.
Transparant au regard des passants pressés le viel homme est assied, transit et affammé sous le porche à l'abri des frimas de janvier. Il implore un sourire, une pièce de monnaie. Passe un chien de prestige, une voiture suit, heurte le caniche. Sitôt extirpés de leurs logis douillets, accourent des bourgeois empressés. < ne le laisse pas là! amène le chez moi j'ai une couverture afin qu'il n'ait pas froid!> Qelques instants après, l'animal est pansé, dorloté, réchauffé maintes fois caressé. Au dehors dans la rue le silense est tombé tout le monde est rentré, à fermé ses volets. Sous son porche à l'abris des frimas de janvier le vieil homme c'est mis à aboyer...........
DANIEL BAY.
babette- Modos
- Nombre de messages : 1554
Age : 61
Localisation : PISSELOUP
Date d'inscription : 09/10/2007
- Message n°33
Re: Textes variés
Merci pour ce texte, Excalibur, il montre l'égoïsme des hommes entre eux. IL faut s'entraider et ne pas se regarder le nombril.
Continue ça fait du bien de se poser des questions. Biz à toi
Continue ça fait du bien de se poser des questions. Biz à toi
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°34
Re: Textes variés
Merci ma belle, ca fait toujours plaisirs un commentaire, savoir que ca plaît "ou que ca laisse indifférent" varier les sujets ce n'est pas simple pour que tout le monde y trouve sont compte, mais si personne ne donne son avis........ Bizzzzzzzzzz
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°35
Re: Textes variés
Plus léger........... UNE FEMME D'AFFAIRES.
En cadre dynamique une femme d'affaires se doit en thaïlande aller pour ses travaux assister vaillamment à un grand séminaire décroher des contrats, dénicher des cervaux. Au grand aéroport son époux l'accompagne et pour la taquiner demande en souvenir une thaïlandaise pour lui faire plaisir même pas habillée du plus simple des pagnes. L'épouse apprécia peu cette plaisanterie embrasse froidement son bouillant époux et s'en va prestement passer le portique sous le regard oblique des douaniers lubriques. Après ces quinze jours de labeur acharnés, réunions marathons et longues discutions, la voici de retour auprès du polisson lui servant de mari, ce priape incarné. "As-tu dans tes bagages une belle thaïlandaise?" -"J'ai fais ce que j'ai pu dans ce pays de braises, mais quelques mois encore tu devras patienter pour savoir si l'enfant est dotée de nénés." ZAZOU
En cadre dynamique une femme d'affaires se doit en thaïlande aller pour ses travaux assister vaillamment à un grand séminaire décroher des contrats, dénicher des cervaux. Au grand aéroport son époux l'accompagne et pour la taquiner demande en souvenir une thaïlandaise pour lui faire plaisir même pas habillée du plus simple des pagnes. L'épouse apprécia peu cette plaisanterie embrasse froidement son bouillant époux et s'en va prestement passer le portique sous le regard oblique des douaniers lubriques. Après ces quinze jours de labeur acharnés, réunions marathons et longues discutions, la voici de retour auprès du polisson lui servant de mari, ce priape incarné. "As-tu dans tes bagages une belle thaïlandaise?" -"J'ai fais ce que j'ai pu dans ce pays de braises, mais quelques mois encore tu devras patienter pour savoir si l'enfant est dotée de nénés." ZAZOU
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°36
Re: Textes variés
L'indifférence.
Regardes-toi un peu, tourné vers ton nombril! As-tu des sentiments dans ton coeur sans reproches? ou bien les cachent-tu à abrit des fenils par peur de les mouiller à la pluie de tes proches? Tu sembles indifférent au monde qui t'entoure incapable de faire le moindre petit geste et donner trois minutes de ton temps chaque jour. Ton regard sur les autres n'est qu'une longue sieste. Mais où ai-je la tête, tu es très occupé. Offrir un peu de joie, une priorité? il est bien plus jouissif d'aller se pavaner, se sentir importante dans les soirées huppées. Pourtant je te le dis, la vie est un échange et le désinterêt que ressent l'entourage te reviendra un jour à la cime de l'âge. Ce jour là tu goùteras une impression étrange. Impression d'abandon, de solitude infecte, l'absence d'affection, de considération, te fera réflechir sur l'égoïsme abject dont tu auras usé au fil de tes saisons.
MAIS IL SERA TROP TARD.
ZAZOU.
Regardes-toi un peu, tourné vers ton nombril! As-tu des sentiments dans ton coeur sans reproches? ou bien les cachent-tu à abrit des fenils par peur de les mouiller à la pluie de tes proches? Tu sembles indifférent au monde qui t'entoure incapable de faire le moindre petit geste et donner trois minutes de ton temps chaque jour. Ton regard sur les autres n'est qu'une longue sieste. Mais où ai-je la tête, tu es très occupé. Offrir un peu de joie, une priorité? il est bien plus jouissif d'aller se pavaner, se sentir importante dans les soirées huppées. Pourtant je te le dis, la vie est un échange et le désinterêt que ressent l'entourage te reviendra un jour à la cime de l'âge. Ce jour là tu goùteras une impression étrange. Impression d'abandon, de solitude infecte, l'absence d'affection, de considération, te fera réflechir sur l'égoïsme abject dont tu auras usé au fil de tes saisons.
MAIS IL SERA TROP TARD.
ZAZOU.
excalibur- Explorateur de Neptune
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Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°37
Re: Textes variés
Plus Léger.
Trois générations d'hommes, un grand père et son fils ainsi que son petit fils lancèrent un défit: ce serait à celui qui flatterait sa mie les plus nombreuses fois, emplissant leur calice. Pour ne pas attirer l'attention de ces dames qui de ce pari là en feraient tout un drame, les hommes décidèrent qu'ils mettraient au café autant de sucres blancs que de coups honorés.
Le lendemain matin au petit déjeuner le fils mit au café huit morceaux biens sucrés. Le père se montra et glissa quant à lui dans le breuvage noir cinq morceaux et demi. Sur ces entrefaites arriva le grand père. La mine satisfaite, il s'assit à la table et dit nonchalemmant d'un ton bien trop aimable: " Un peu de sucre en poudre, vous n'auriez pas mes chers.?"
ZAZOU.
Trois générations d'hommes, un grand père et son fils ainsi que son petit fils lancèrent un défit: ce serait à celui qui flatterait sa mie les plus nombreuses fois, emplissant leur calice. Pour ne pas attirer l'attention de ces dames qui de ce pari là en feraient tout un drame, les hommes décidèrent qu'ils mettraient au café autant de sucres blancs que de coups honorés.
Le lendemain matin au petit déjeuner le fils mit au café huit morceaux biens sucrés. Le père se montra et glissa quant à lui dans le breuvage noir cinq morceaux et demi. Sur ces entrefaites arriva le grand père. La mine satisfaite, il s'assit à la table et dit nonchalemmant d'un ton bien trop aimable: " Un peu de sucre en poudre, vous n'auriez pas mes chers.?"
ZAZOU.
excalibur- Explorateur de Neptune
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Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°38
Re: Textes variés
N'abandonne surtout pas.
Lorsque dans la vie rien ne va plus, que les problèmes tourmentent ta vie et que l'argent te cause tant de soucis,
- Repose-toi s'il le faut mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises que tout ton univers menace de sécrouler et que tu es fatigué, que tu sents ta confiance t'abandonner, tu sais la vie est parfois étrange avec son lot de surprises, et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'obstacles nous devrons surmonter avant d'atteindre le bonheur et la réussite. Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus pour transformer un échec en réussite, et pourtant un pas à la fois n'est jamais très difficile. Tu dois avoir le courrage et la ténacité nécessaire pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie, qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours. Tu verras alors que cette attitude appellera du plus profond de toi-même, des forces de vie que tu ne soupsonnais même pas et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras. Mais surtout et avant tout rapppelles-toi bien quand dans ta vie des moments difficies viendront....
- Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
ZAZOU.
Lorsque dans la vie rien ne va plus, que les problèmes tourmentent ta vie et que l'argent te cause tant de soucis,
- Repose-toi s'il le faut mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises que tout ton univers menace de sécrouler et que tu es fatigué, que tu sents ta confiance t'abandonner, tu sais la vie est parfois étrange avec son lot de surprises, et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'obstacles nous devrons surmonter avant d'atteindre le bonheur et la réussite. Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus pour transformer un échec en réussite, et pourtant un pas à la fois n'est jamais très difficile. Tu dois avoir le courrage et la ténacité nécessaire pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie, qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours. Tu verras alors que cette attitude appellera du plus profond de toi-même, des forces de vie que tu ne soupsonnais même pas et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras. Mais surtout et avant tout rapppelles-toi bien quand dans ta vie des moments difficies viendront....
- Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
ZAZOU.
excalibur- Explorateur de Neptune
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Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°39
Re: Textes variés
Au bal costumé.
Un homme et une femme, un couple sans histoire à un bal costumé voulait se rendre un soir. Au moment de partir, de violents maux de tête incitèrent l'épouse à délaisser la fête. Un repos bienvenu lui rendit la santé, décida de rèjoindre son époux esseulé. Autre déguidement choisit pour s'habiller: soupçonneuse voulait son mari espionner. Le reconnu son brilant costme, le vit danser d'aplomb avec une jeunette et une autre et une autre, de vulgaires minettes. La rage l'envahit en dangereuses brumes. L'aborda sans détour, l'invita voler et à se débaucher sur la piste de danse. Sentant la proie facile, l'homme tanta sa chance: Un moment plus intime lui proposa d'emblée. Quand l'affaire fut faite, elle quittat les lieux et attendit chez elle, son esprit furieux. Peu après son mari fit enfin son retour arborant sans pudeur ses horribles
atous. "T'es-tu bien amusé?" s'enquérit-elle mauvaise. L'homme ne perçut pas chez sa mie le malaise. "Oh! que non ma chérie! sans toi ce n'est pas drôle, pas d'ambiance, vois-tu une assemblée fantôme. " Pourtant tu rentres tard de ces danses moroses, peut-être oublies-tu donc me raconter des choses?" - Nous nous sommes rendus avec quelques copains nous taper des Belottes à un bistrot voisin. "Mais sais-tu la plus belle?, tu vas bien t'amuser : j'ai prèté mon costume à mon meileur ami, il s'est fait allumer par une délurée, une sacrée coquine, une diablesse au lit."
ZAZOU.
Un homme et une femme, un couple sans histoire à un bal costumé voulait se rendre un soir. Au moment de partir, de violents maux de tête incitèrent l'épouse à délaisser la fête. Un repos bienvenu lui rendit la santé, décida de rèjoindre son époux esseulé. Autre déguidement choisit pour s'habiller: soupçonneuse voulait son mari espionner. Le reconnu son brilant costme, le vit danser d'aplomb avec une jeunette et une autre et une autre, de vulgaires minettes. La rage l'envahit en dangereuses brumes. L'aborda sans détour, l'invita voler et à se débaucher sur la piste de danse. Sentant la proie facile, l'homme tanta sa chance: Un moment plus intime lui proposa d'emblée. Quand l'affaire fut faite, elle quittat les lieux et attendit chez elle, son esprit furieux. Peu après son mari fit enfin son retour arborant sans pudeur ses horribles
atous. "T'es-tu bien amusé?" s'enquérit-elle mauvaise. L'homme ne perçut pas chez sa mie le malaise. "Oh! que non ma chérie! sans toi ce n'est pas drôle, pas d'ambiance, vois-tu une assemblée fantôme. " Pourtant tu rentres tard de ces danses moroses, peut-être oublies-tu donc me raconter des choses?" - Nous nous sommes rendus avec quelques copains nous taper des Belottes à un bistrot voisin. "Mais sais-tu la plus belle?, tu vas bien t'amuser : j'ai prèté mon costume à mon meileur ami, il s'est fait allumer par une délurée, une sacrée coquine, une diablesse au lit."
ZAZOU.
babette- Modos
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Localisation : PISSELOUP
Date d'inscription : 09/10/2007
- Message n°40
Re: Textes variés
excalibur a écrit:Au bal costumé.
ZAZOU.
Tel est pris qui croyait prendre ! Super !
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°41
Re: Textes variés
Tu est bien gentille ma belle de me donner un avis sur le sujet. je ne suis pas très entrain pour recopier des textes, j'ai eu une grippe et une bonne bronchitte, les jambes en coton je ne te dis pas. Bizzzzzz
excalibur- Explorateur de Neptune
- Nombre de messages : 3003
Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°42
La cruche fissurée.
Un vendeur d'eau se rend chaque matin à la rivière remplir ses deux cruches et part vers la ville distribuer l'eau à ses clients. Fissurée, une des cruches perd son eau. Toute neuve, l'autre rapporte plus d'argent. La pauvre fissurée se sent bien inférieure. Un matin elle décide de se confier à son patron: tu perds de l'argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville, pardonne ma faiblesse. Le lendemain, en route vers la rivière le patron interpelle sa cruche fissurée "regarde sur le bord de la route": c'est joli et plein de fleurs: "c'est grace à toi réplique le patron, c'est toi qui chaque matin arroses les bas cotés de la route, j'ai acheté un paquet de graines de fleurs et les ai semées le long du chemin, et toi sans la savoir, sans le vouloir, tu les arroses chaque jour. Ne l'oublie jamais: nous sommes tous un peu fissurés mais, si nous lui demandons Dieu sait faire des merveilles aves nos faiblesses.
AUTEUR INCONNU.
AUTEUR INCONNU.
excalibur- Explorateur de Neptune
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Age : 88
Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°43
Le vent indiscret
Un souffle indiscret luttait dans les plis de sa jupe qu'elle tenait serrée entre ses mains et le maudit vent s'amusait à soulever fouineur le dos et après le devant, mais de tes regards furtifs et moqueurs, point n'était dupe tantôt tu regardais autour comme un insecte jaloux qui s'alarmerait du vol d'un rival séduit sous les branches par la vue de la peau si étonnamment blanche, et de ce regal offert au vole qui rassasierait ces yeux fous. Le soir était loin de tomber, même si par ces jours d'automne, l'obscurité vient vite en ces cieux tourmentés, et à ton bras se lovait frileuse la belle, te murmurant à l'oreille tout bas "rentrons vite chéri j'ai froid" sans que celà t'étonne. Tu envisageais déjà tous les déroulements de cette romance car elle t'offrait timide et aguichante sans le savoir par l'éclat de ses yeux, des folies d'amour: t'en souviens-tu? Ton coeur cognait vite et ses battements à tout rompre, soulevait ta chemise et donnait du rouge vif à tes joues, tu recherchais amoureux l'abri complice d'une rue sombre, pour attirer vers toi et l'embrasser soudain dans le cou. Tu retouvais, dans cette flambée des sens ton adolescence, même si les jours s'étaient ajoutés longuement aux jours, voyant en elle la renaissance des trésors de tendresse, te faisait encore croire aux délices d'un ardent amour.
excalibur- Explorateur de Neptune
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Localisation : Bézu-le-Guéry
Date d'inscription : 30/04/2008
- Message n°44
Re: Textes variés
Des grands parents c'est quoi?
Des grands parents c'est quoi? Un regard attendri? Des rides qui sourient? Je sais pas moi tout ça! Les miens n'étaient pas là!
Des grands parents c'est quoi? Des bêtises complices? Des yeux pleins de malice? Je n'ai pas apris ceci! les miens étaient partis!
Des grands parents c'est quoi? Des jeux ensoleillés? De bons gâteaux sucrés? Je connais pas ces joies! Ils sont trop loin de moi!
Toi qui a ton papy, ta grand mère chérie, fais-toi des souvenirs, de ces petits plaisirs. Protège leur amour dans l'écrin de ton coeur, il battra en tambour au rythme du bonheur. Lorsque tu penseras à ces moments bénis tu te réchaufferas à ces flammes de vie.
ZAZOU
Des grands parents c'est quoi? Un regard attendri? Des rides qui sourient? Je sais pas moi tout ça! Les miens n'étaient pas là!
Des grands parents c'est quoi? Des bêtises complices? Des yeux pleins de malice? Je n'ai pas apris ceci! les miens étaient partis!
Des grands parents c'est quoi? Des jeux ensoleillés? De bons gâteaux sucrés? Je connais pas ces joies! Ils sont trop loin de moi!
Toi qui a ton papy, ta grand mère chérie, fais-toi des souvenirs, de ces petits plaisirs. Protège leur amour dans l'écrin de ton coeur, il battra en tambour au rythme du bonheur. Lorsque tu penseras à ces moments bénis tu te réchaufferas à ces flammes de vie.
ZAZOU
excalibur- Explorateur de Neptune
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- Message n°45
Les vieilles dames.
Une petite dame va à l'épicerie et met dans son panier des boîtes d'aliments pour chats, les plus chères qu'elle puisse trouver dans le magasin. Arriver à la caisses, elle dit à la caisssière:
- Il n'y a rien de trop cher pour mes chats.
Et la caissière de lui répondre:
- Je regrette, mais je ne peux pas vous vendre ces boîtes pour chats sans une preuve que vous avez bien un chat. Il trop y à beaucoup trop de gens âgés qui achètent des aliments pour chats et en réalité c'est pour leur propre consommation. La direction de l'épicerie exige donc une preuve que vous avez vraiment un chat.....
La petite dame retourne à la maison chercher son chat pour le monter à la caissièse. Celle-ci l'autorise à acheter les boîtes.
Le lendemain, la même petite dame retourne à l'épicerie pour acheter des biscuits pour chien et, encore une fois, elle choisit les biscuits les plus chers. La caissière lui raconte le même boniment qu'elle ne pouvait pas lui vendre des biscuits sans la preuve qu'elle possède bien un chien.
Frustrée, la petite dame s'en va à la maison cherché son chien et l'amène pour le monter à la caissière, cette dernière n'ayant pas le choix lui a vendu les biscuits.
Le jour suivant, la petite dame arrive avec une boîte dont le couvercle était percé d'un trou, elle demande à la caissière de mettre son doigt dans le trou. La caissière refuse en disant:
- Non! j'ai trop peur qu'il y ait un serpent là-dedans.
La petite dame la rassure en lui affirmant qu'il y à rien dans la boîte qui pourrait la blesser. La caissière met alors son doigt dans la boîte, puis s'aperçoit que son doigt a une drôle d'odeur. Elle s'écrit alors:
- Mais c'est de la merde que vous avez dans cette boîte?!!!
La petite dame, avec son plus beau sourire, lui dit:
- Hé bien! maintenant, est-ce que je peux acheter trois rouleaux de papier de toilette?
MORALITE: IL NE FAUT PAS "EMERDER" LES PERSONNES AGEES.......
- Il n'y a rien de trop cher pour mes chats.
Et la caissière de lui répondre:
- Je regrette, mais je ne peux pas vous vendre ces boîtes pour chats sans une preuve que vous avez bien un chat. Il trop y à beaucoup trop de gens âgés qui achètent des aliments pour chats et en réalité c'est pour leur propre consommation. La direction de l'épicerie exige donc une preuve que vous avez vraiment un chat.....
La petite dame retourne à la maison chercher son chat pour le monter à la caissièse. Celle-ci l'autorise à acheter les boîtes.
Le lendemain, la même petite dame retourne à l'épicerie pour acheter des biscuits pour chien et, encore une fois, elle choisit les biscuits les plus chers. La caissière lui raconte le même boniment qu'elle ne pouvait pas lui vendre des biscuits sans la preuve qu'elle possède bien un chien.
Frustrée, la petite dame s'en va à la maison cherché son chien et l'amène pour le monter à la caissière, cette dernière n'ayant pas le choix lui a vendu les biscuits.
Le jour suivant, la petite dame arrive avec une boîte dont le couvercle était percé d'un trou, elle demande à la caissière de mettre son doigt dans le trou. La caissière refuse en disant:
- Non! j'ai trop peur qu'il y ait un serpent là-dedans.
La petite dame la rassure en lui affirmant qu'il y à rien dans la boîte qui pourrait la blesser. La caissière met alors son doigt dans la boîte, puis s'aperçoit que son doigt a une drôle d'odeur. Elle s'écrit alors:
- Mais c'est de la merde que vous avez dans cette boîte?!!!
La petite dame, avec son plus beau sourire, lui dit:
- Hé bien! maintenant, est-ce que je peux acheter trois rouleaux de papier de toilette?
MORALITE: IL NE FAUT PAS "EMERDER" LES PERSONNES AGEES.......
excalibur- Explorateur de Neptune
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- Message n°46
Je suis...
Je suis le bleu du ciel et l'ocre de la terre, le vert de la forêt, le rouge du pavot, la blancheur de la plume et le noir du mystère. Je vibre dans le jaune de l'abricot. je sanglote dans le gris du plus funestre orage et ruisselle dand l'or de l'âme du soleil.
Je suis dans les reflets du plus petit rivage, le mauve du lilas, le rose sans pareil de la fleur éternelle et des feux du flamant.
Je suis tous les reflets argentés de la lune, ceux de la moindre étoile au bord du firmament et ceux où te sourit la blondeur de la brume,
Je suis dans la trille du merle, dans le rire du ruisseau, j'éclate en mille sons où chante la tendresse vibrato et je dance toujours dans le feu qui se dresse.
Je suis tous les flocons en doux cristaux de neige qui dessinent dans l'air leur valse pour le froid et les gouttes de pluie en rondes au manège abreuvant le sol sec lorsque l'été fait loi.
Je perle dans la sève étouffante des ramures, dans les sillons du champ que l'homme a labouré où geint le souvenir d'un grand choc des ramures et niche la colombe au tendre bec doré.
Je suis clair, je suis sombre à tout instant du jour. Mes couleurs sont partout dans l'ombre où la lumière, mes chagrins, ma colère et sutout mon amour.
Je suis le cri du vent, sa chanson coutûmière, l'arôme de la mousse et le goût des ambrins. Je transperce la nuit de mes clartés sans ombre. Je donne leurs nuances aux plus simples parfums et je chante pour toi lorsque ton coeur est sombre.
Regarde-moi, sens-moi, toi qui dans tes hivers recherches une lueur et la force de vivre. Car je suis toujours là, je me nome Univers et je m'offre en ami à tous ceux qui ont besoin de beauté.
Je suis dans les reflets du plus petit rivage, le mauve du lilas, le rose sans pareil de la fleur éternelle et des feux du flamant.
Je suis tous les reflets argentés de la lune, ceux de la moindre étoile au bord du firmament et ceux où te sourit la blondeur de la brume,
Je suis dans la trille du merle, dans le rire du ruisseau, j'éclate en mille sons où chante la tendresse vibrato et je dance toujours dans le feu qui se dresse.
Je suis tous les flocons en doux cristaux de neige qui dessinent dans l'air leur valse pour le froid et les gouttes de pluie en rondes au manège abreuvant le sol sec lorsque l'été fait loi.
Je perle dans la sève étouffante des ramures, dans les sillons du champ que l'homme a labouré où geint le souvenir d'un grand choc des ramures et niche la colombe au tendre bec doré.
Je suis clair, je suis sombre à tout instant du jour. Mes couleurs sont partout dans l'ombre où la lumière, mes chagrins, ma colère et sutout mon amour.
Je suis le cri du vent, sa chanson coutûmière, l'arôme de la mousse et le goût des ambrins. Je transperce la nuit de mes clartés sans ombre. Je donne leurs nuances aux plus simples parfums et je chante pour toi lorsque ton coeur est sombre.
Regarde-moi, sens-moi, toi qui dans tes hivers recherches une lueur et la force de vivre. Car je suis toujours là, je me nome Univers et je m'offre en ami à tous ceux qui ont besoin de beauté.
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- Message n°47
AUTOMNALE
L'automne s'en est allé aux dernières vendanges. Chaque soir le soleil se meurt un peu plus tôt. Le bleu du ciel palit. Le merle et la mésange ont dejà déserté la fontaine aux oiseaux. Le grand chêne attristé laisse pleurer ses feuilles que le vent plus hardi conduit à leur trépas, elles ont couvert le sol qui les recueille d'un tapis mordoré qui craque sous les pas. L'abeille ne boit plus au calice de la rose, le papillon de mai ne se reveillera pas, la jardin fatigué paresse, se repose avant que d'affronter décembre et ses frimas. L'hirondelle a rejoint des aurores lointaines. La fumée sur le toit danse au rythme du vent. Quand la brume du soir emprisonne la plaine, le vol des souvenirs s'alanguit doucement.
GISELE.
GISELE.
excalibur- Explorateur de Neptune
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- Message n°48
LA DAME BLANCHE.
La chouète effraie.
Du plus profond de la nuit, soudainement tu as surgi, toi que l'on nommait la Dame Blanche, royale tu voles loin des branches, tu préfères les fins clôchers où tu t'installes pour nicher. De là sur tes ailes duveteuses, tu as pris ton vol. Silencieuse tu traques les campagnoles, qui grignottent au ras du sol. Au crépuscule tes yeux perçants pour localiser les imprudents. Si la lune te fait défaut, tu ne renonces pas, loin s'en faut! A l'épreuve, tu mets ton ouie, et malheur aux milots, aux souris qui s'éloignent de leur terrier, profitant de l'obscurité tu es très rapide, utile. Même si tu vis près des villes, tu perçois les moindre frolements de petits rongeurs trops confiants. Dans tes serres et ton bec très puissants tu les emportes palpitants. Si les hommes anxieux t'ont longtemps combattue, rassures-toi , ils ne le feront plus. Depuis juillet mille neuf cent soixante et seize, tu peux aller et venir à ton aise car ils ont finalement compris que tu es un maillion dans la chaîne de la vie. Finies les croyances et les superstitions, tous les rapaces pour des générations, ils respecterons.
Poème de CM2 école primaire de Sigean.
Du plus profond de la nuit, soudainement tu as surgi, toi que l'on nommait la Dame Blanche, royale tu voles loin des branches, tu préfères les fins clôchers où tu t'installes pour nicher. De là sur tes ailes duveteuses, tu as pris ton vol. Silencieuse tu traques les campagnoles, qui grignottent au ras du sol. Au crépuscule tes yeux perçants pour localiser les imprudents. Si la lune te fait défaut, tu ne renonces pas, loin s'en faut! A l'épreuve, tu mets ton ouie, et malheur aux milots, aux souris qui s'éloignent de leur terrier, profitant de l'obscurité tu es très rapide, utile. Même si tu vis près des villes, tu perçois les moindre frolements de petits rongeurs trops confiants. Dans tes serres et ton bec très puissants tu les emportes palpitants. Si les hommes anxieux t'ont longtemps combattue, rassures-toi , ils ne le feront plus. Depuis juillet mille neuf cent soixante et seize, tu peux aller et venir à ton aise car ils ont finalement compris que tu es un maillion dans la chaîne de la vie. Finies les croyances et les superstitions, tous les rapaces pour des générations, ils respecterons.
Poème de CM2 école primaire de Sigean.
excalibur- Explorateur de Neptune
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- Message n°49
C'EST CELA LE BONHEUR;
Parfois j'ai envie que le monde sache que j'aime la vie, que j'aime marcher sous la neige, la pluie, le soleil, parmi la nature, entendre le chant des oiseaux, le frolement des feuilles dans les arbres, le bruit que font les chutes d'eau, le crissement de la neige sous mes pas. Ou parfois, j'ai envie de crier le monde, profiter de la nature, de la belle vie, de toutes ces merveilles qui s'offrent à nous.
C'est celà le bonheur! Parfois encore j'ai envie de dire au monde "vous savez le petit moineau qui vient chaque matin sur le pas de votre porte pour quérir sa ration de pain, qui vous éveille par son chant, et vous met la joie dans le coeur". C'est celà le bonheur. Parfois j'ai envie que le monde sache que je trouve injuste la maladie qui prive ces gens de toutes ces merveilles. Vous qui avez la santé sachez jouir de ces jolies choses de la nature qui ne demandent qu'à être senties, admirées et regardées. Bonne journée, c'est cela le bonheur.
C'est celà le bonheur! Parfois encore j'ai envie de dire au monde "vous savez le petit moineau qui vient chaque matin sur le pas de votre porte pour quérir sa ration de pain, qui vous éveille par son chant, et vous met la joie dans le coeur". C'est celà le bonheur. Parfois j'ai envie que le monde sache que je trouve injuste la maladie qui prive ces gens de toutes ces merveilles. Vous qui avez la santé sachez jouir de ces jolies choses de la nature qui ne demandent qu'à être senties, admirées et regardées. Bonne journée, c'est cela le bonheur.
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- Message n°50
IL EST DES SOIR OU......
Il est des soirs très doux où le ciel resplendit et le sol se repose, il est des soirs très doux où l'amour refleurit comme des boutons de roses. J'errait désespéré, frèle esquif sur les flôts, le vent faisait vibrer quelques dernières feuilles et mon coeur affigé exhalait des sanglots comme une pauvre fleur qu'une main dure effeuille. Mon âme allait vers toi sans qui tout est morose. Oh! entendre ta voix, ton rire de cristal, et voir ton doux visage, image fraiche et rose, te serrer contre moi, oh! bonheur sans égal. Puis tu m'es apparue silhouette dorée, j'ai murmurer ton nom et dans mes bras ouverts amoureuse et ravie, tremblante, abandonnée tu t'es blottie, frileuse au vent froid de l'hiver. Mon bras ployant ton corps, alangui et inerte. Je sentais ton coeur battre et t'écoutais pleurer. Tu as levé la tête et sur tes lèvres offertes j'ai déposé doucement un long et doux baiser, un nuage a glissé sur la lune sereine. Dans le sentier nous marchions lentement, enlacés et muets, bien loin de toute peine. Amoureux éternels et amants triomphants. Il est des soirs très doux où le ciel resplendit et la vie se repose. Il est des soirs très doux où l'amour refleurit comme un bouquet de roses.
Puisse ces quelques vers vous divertir, vous apporter la joie et vous faire rêver: en échange de quoi, salaire bien léger, je ne demande qu'un tout petit baiser.
Puisse ces quelques vers vous divertir, vous apporter la joie et vous faire rêver: en échange de quoi, salaire bien léger, je ne demande qu'un tout petit baiser.
Lun 12 Fév - 11:25 par excalibur
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